Ils incarnent le renouveau du cinéma algérien. Malgré des conditions de production dantesques, ces cinéastes entreprennent, innovent et gagnent des prix. Le cinéma algérien est mort, vive ses cinéastes ! La situation est connue de tous : une économie du septième art shootée aux subventions publiques, des salles et des studios clos, un réseau de distribution inexistant. Mi-mort, mi-vivant, le cinéma algérien…