Avec l’expulsion massive de migrants subsahariens, l’Algérie montre un triste visage. Mais ces dérives xénophobes ne sont pas dignes de notre pays. Edito. Je ne sais pas ce qui me désole le plus : la brutalité avec laquelle plus d’un millier de migrants subsahariens – parmi lesquels des femmes enceintes et des nouveaux nés – ont été parqués comme des animaux…