Dans les rues d’Alger, les hommes n’ont plus le monopole du transport clandestin. Les Algériennes se mettent à leur tour à arrondir leur fin de mois en devenant chauffeur de taxi clandestin.
On ne sait pas combien elles sont mais leur présence est de plus en plus remarquée. D’après un reportage réalisé par nos confrères d’El Watan, de plus en plus d’Algériennes se convertissent en chauffeur de taxi clandestin. Soit parce qu’elles n’ont pas d’autre activité professionnelle, soit pour arrondir leur fin de mois, explique le journaliste. Au volant de ces taxis hors-la-loi, des Algériennes de différents profils : des femmes célibataires, des femmes mariées, des femmes âgées.
Trajets inter-wilaya
Et pour faire face à la cherté de la vie, ces Algériennes taxieurs clandestines sont prêtes à prendre de gros risques. “Au centre de la capitale ou dans les quartiers de la périphérie, elles sont présentes et proposent leurs précieux services. Si certaines d’entre elles travaillent grâce au bouche à oreille ou avec une clientèle sélectionnée, d’autres n’hésitent pas à concurrencer les hommes et à courir les rues à la recherche d’éventuels clients”, peut-on lire dans l’article.
On apprend aussi que ces Algériennes chauffeurs de taxi clandestines transportent aussi bien des hommes que des femmes. Si la plupart circulent dans la capitale, certaines ne craignent pas de proposer des trajets longue distance et inter-wilaya.
Lire l’intégralité du reportage ici
*Crédit photo : Nadjib Bouznad, alias Coup d’œil
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- Co-fondatrice d'Intymag.com
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